Qu'y a -t-il dans ce regard qui se perd souvent dans l'horizon?
Je sais les blessures de ce peuple, même inavouées: d'avoir été déplacé, martyrisé, objectivé, humilié...
Et ces frustrations : de ne pas pouvoir voyager, de ne pas avoir autant, de manquer souvent...
Quand, sous-jacente, perdure l'inégalité noir/blanc et que la chair s'en souvient, et que la mémoire collective l'a imprimée, et que l'inconscient est traumatisé.
Rêve de voyage et de liberté, de vie meilleure, de moins lutter.
Mais un regard qui se pose toujours aimant sur sa terre, sur cette terre, même rude, et qui sait voir aussi les sourires, la joie et la le prix du " no stress" ici.
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